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Oppression has to end
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Evie Frye
Evie Frye
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Dim 19 Avr - 22:55

Evie Frye


Tu n'as pas écouté les trois premières fois ?


Oppression has to end Evie110
Bonjour, je m’appelle Evie Frye et je suis né le 09 novembre 1847. Je suis revenu à la vie le 13 mai 2018 avec l’apparence de quelqu'un de 31 ans et je suis au stade 00 de ma mémoire.

Je suis assistante de rééducation pour les personnes ayant subi un trauma crânien et je fais partie civils et revenants. Je suis célibataire et je suis hétérosexuelle. Mon visage ressemble à Gemma Arterton.

L’on pourrait croire d’Evie qu’elle est tout à fait malléable. Elle fait tout pour qu’on la considère comme tel en réalité.Elle se veut calculatrice, pour gagner la confiance du monde, qu’on puisse la laisser faire ce qu’elle entend quand elle l’entend. Elle joue souvent un rôle, comme si elle sentait qu’il y avait quelque chose qui se tramait tout près d’elle, sans qu’elle sache vraiment quoi. L’esprit vif et intelligent, elle est de ceux qui vont observer leur environnement et s’adapter et agir en fonction de celui-ci. Elle a bien fait comprendre aux personnes qui l’entourent qu’elle n’avait besoin de personne, et qu’elle pouvait tout à faire être sage lorsqu’il le fallait. Evie jouit alors d’une certaine liberté, peu surveillée, elle se complait tout à faire à pouvoir faire à peu près ce qu’elle veut quand elle le veut.
Evie comprend vite, son temps d’adaptation est relativement court, et pour le coup elle se satisfait tout à fait de ce trait de caractère. Elle est aussi assez têtue, de ce fait, elle obtient souvent ce qu’elle veut. D’une assez grande patience, avoir ce qu’elle veut peut parfois prendre du temps, mais ce n’est pas grave. Lorsqu’elle a besoin de réponses, elle fait tout pour les avoir. Et ce, de façon assez discrète. Méticuleuse et précise, elle a le besoin que tout soit planifié à l’avance, on dit souvent qu’elle est maniaque. Elle l’est peut être bien, cependant elle se considère plutôt comme organisée. Mais elle se moque bien de ce qu’on peut penser d’elle.
Evie se retrouve pourtant parfois à être autoritaire malgré son air plutôt doux. C’est qu’elle n’aime pas lorsque l’on contrecarre ses plans en essayant de l’aider. Elle préférera toujours se débrouiller seule plutôt qu’avoir une once d’aide. De plus, elle est toujours à l’écoute, et respecte scrupuleusement les avis qu’on peut lui donner, les étudie et agit en fonction.
En ce qui peut concerner ces hobbys, elle s’est découvert (ou redécouvert) une passion pour l’escalade, et pour le maniement de l’arme blanche. Que ce soit au lancé ou en combat rapproché. Cependant ce sont des compétences qu’elle garde pour elle, ou qu’elle partage avec Edward.  

Un filet de lumière opaque vint éclairer ta vision alors que tes yeux étaient toujours clos. Tu semblais reprendre tes esprit après avoir reçu un certain choc, comme si tu te réveillais d’une bonne grosse gueule de bois. Tu fronças les sourcils, alors que tu sentais de l’agitation autour de toi. Les sons au début sourds, se firent plus clair. On appelait. «E...ie…Evie... Evie vous êtes là ?». Pour toute réponses, tu détournas le visage, levant une main pour chercher un contact, que tu trouvas. Une main d’homme t’avait saisi, mais tu t’en débarrassas pour chercher son torse, et le tapoter gentiment. Finalement, tu levas ton index, comme pour demander du temps. Tu vins poser ton bras libre sur tes yeux, pour te rendre le tout un peu plus confortable. Tu avais mal à la tête, pire, elle te tournait. Puis tu entendis hurler dans la salle d’à côté, et dans un sourire tu décidas d’ouvrir doucement les yeux.

« On étripe quelqu’un à côté ? » demandas-tu alors que tu tentais de te redresser.

On te déconseilla d’aller plus loin, mais tu pris appuie sur ce médecin qui te tenait le bras. Tu le rassuras pourtant, en lui disant que ça allait. Tu te sentais fatiguée, las, barbouillée. Et alors que tu passais tes jambes dans le vide, tu fus prise d’un vertige. Te tenant un lit d’une main et plaquant l’autre contre ta bouche, tu retins tant bien que mal ce réflexe digestif. Le médecin te rassura encore, en disant que tu pouvais tout laisser aller, mais ce n’était pas ton genre. Tu ne pouvais pas faire ça en publique, allons. Ce n’était pas digne d’une dame. La porte de ta salle claqua, et tu grimaças suite à ce son. Tes oreilles étaient encore bien sensibles et tu ne te sentais pas du tout de te mettre debout. Tu observa alors un charmant médecin venir vers toi, il avait l’air un peu surpris. Se positionnant devant toi, il te demanda comment tu allais, si tu avais mal quelque part. Tu répondis à toutes ses questions sans signe de résistance. Tu lui ajoutas que tu avais un mal de tête carabiné, que tu te sentais extrêmement fatiguée et que tu ne savais en aucun cas où tu te trouvais. Mais tu restais calme. Tu trouvas ton médecin un brin hésitant la dessus, et il te proposa deux choses. L’une, de te raconter tout ce qui se passait ici et maintenant. L’autre, te laisser reprendre des forces et te raconter ce qu’il s’était passé à cerveau reposé. Ce fut alors sur un commun accord qu’il fut décidé qu’il était préférable d’attendre un peu.

Le lendemain, tes forces récupérées, tu attendais ton médecin, les bras croisés devant les fenêtre de ta chambre. Tu observais l’extérieur gris. Rien ne t’était familier et c’était quelque chose qui te contrariait beaucoup. On frappa à ta porte, Richardson entra, te disant qu’il n’avait pu venir plus tôt étant donné que tu n’étais pas encore disponible. Tu ne savais combien de temps tu avais passée inconsciente, et te voilà encore endormie, quelle histoire. Alors qu’il t’invitait à t’asseoir, et qu’il imitait lui même ce geste, tu refusas, préférant de loin essayer d’observer la vie qui remuait en bas, en vain. Il t’expliqua alors que tu te trouvais à Abstergo, une entreprise qui travaillait notamment sur la recherche en ce qui concernait la mémoire. Alexander te raconta que tu avais eu un accident dans les transports, qu’il y a eut pas mal de cas comme toi, qui avaient perdus conscience, et qui semblait avoir perdu la mémoire. Abstergo essaierait alors à t’aider à retrouver ta vie d’avant. Mais son discours était trop romancé pour toi, il y avait quelque chose qui clochait. Mais c’était sa parole contre le vide qui emplissait ta tête, alors tu n’avais eu d’autres choix que de le croire.

Plus tard encore tu fis mise en contacte avec une personne qui s’était réveillé le même jour que toi. « Ah, c’était donc à toi qu’on a arraché l’estomac l’autre jour...» lui avais-tu fait comme salutations. Cependant, tu avais totalement accroché à sa personnalité. Tu trouvais votre duos complémentaire, et il t’arrivait souvent de le chercher du regard, voir même le chercher tout court pour voir où il en était de la “rééducation”. Ayant des facilités, tu t’étais mise en tête que tu allais l’aider coute que coute. Si bien que tu te mise à éprouver un véritable amour fraternel envers lui. Comme une grande soeur, tu cherchais à le protéger de ceux qui auraient pu lui vouloir du mal, mais aussi de sa propre connerie.

Tu te souviens même, en pleine nuit à Abstergo, le sentir entrer dans ta chambre et te demander si tu étais réveillé, avec ce sourire plein de malice au lèvres que tu pouvais entendre. Tu n’avais jamais pu dormir sur tes deux oreilles dans ces locaux. Il t’avait demandé de le suivre, alors que tu étais sensée dormir à poing fermé.

« Allez Frye, je sais que tu dors pas, viens avec moi.
- Ok, alors deux choses. L’une, ils sont en train de faire leur ronde, t’as choisi ta pire heure, et je suis sûre que t’as mal fermé ta porte, donc tu peux choisir de vite te casser. L’autre, tu viens te planquer sous la couette, parce qu’ils aiment bien voir si je dors ou pas. »

Il avait rit alors que tu avais soulevé la dite couette pour qu’il t’y rejoigne. Un “Bas les pattes” sec s’était glissé alors que tu lui expliquait comment il devait se mettre pour ne pas se faire voir. tu lui expliquas aussi gentiment qu’il n’était pas raisonnable, que tout ce qu’il risquait c’était de chopper la mort dehors, parce que tu savais parfaitement qu’il voulait t’entrainer sur les toits. Et qu’il devait juste passer la nuit là, que tu lui prêtais une oreille attentive s’il voulait te parler. Tard dans la nuit, tu te levas tout de même pour te poster devant ta chambre et t’asseoir sous les étranges lumières des néons. Un infirmier passa en vitesse, en panique, te demandant ce que tu faisais là, avant de te demander si tu n’avais pas vu ton ami, qu’il était introuvable. Tu lui répondis tout naturellement que tu n’en avais aucune idée, mais qu’il ne devait pas être bien loin. Sans doute une insomnie comme toi, et qu’il était peut être parti piquer un truc en cuisine. Il t’avait remercié infiniment avant de repartir en courant, alors que tu te relevais pour retrouver ton lit. « Pars avant 4h30, sinon il vont t’emmerder demain. Tu auras le temps de les éviter. »

Tu le couvais peut être un peu trop, mais c’en était ainsi. Tu t’étais longtemps amusée à le voir galérer avec le monde moderne. Alors que tu avais compris les principes de base en deux ou trois mois, tu te moquais de le voir n’y rien comprendre. Tu t’étais battue pour essayer de mieux lui apprendre, jusqu’à te demander s’il n’était pas complètement idiot. Tu en avais aidé plusieurs autres d’ailleurs. Et force était de constater que cela avait porté ses fruit. Abstergo t’avait proposé de rester parmi eux, pour continuer ce que tu faisais déjà avec Edward. Alors tu avais accepté, parce que tu n’avais aucune idée de ce dont tu étais capable en réalité, et ils ne t’avaient pas mentionné ton ancien travail.

Tu eus le coeur brisé lorsque Edward parti s’installer au bout d’un an de vie presque commune. Mais tu fus heureuse de ne pas perdre son contact. Tous les jours vous vous appeliez, ou même il t’arrivait de passer le voir, et l’attendre sur le toît de l’immeuble dans lequel il logeait. Quant à toi, cela faisait maintenant deux ans que tu trainais dans les couloirs d’Abstergo, ayant conquit sa confiance, sentant qu’il y avait quelque chose qui te manquait au fond de toi, et à aider ceux dans le besoin.

Pseudo : Evie
Pays / Région : Sud Ouest
Fréquence de connexion : Autant que possible
Comment avez vous connu le forum ? J'ai aidé à sa création D:
Comment le trouvez vous ? Il est beau *w*
Petit mot de la fin : ♥


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Dernière édition par Evie Frye le Jeu 23 Avr - 16:15, édité 1 fois
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